
Ce CTSD s’est déroulé en la présence du nouveau DASEN, M Olivier Wambecke, qui a présenté son parcours professionnel.
Lors du CTSD de ce vendredi 2 septembre, la CGT est revenue sur les dysfonctionnements à propos du nouveau système de remplacement départemental. Le DASEN nous a confirmé qu’il faudra dresser le bilan de cette gestion centralisée en fin d’année. A ce sujet, les circonscriptions reprennent la main, pour les remplacements, jusqu’à ce que le logiciel andjaro fonctionne.
Dans sa déclaration liminaire (voir la déclaration liminaire ci-dessous), la CGT s’est opposée à toutes les fermetures de postes et a demandé des ouvertures pour toutes les écoles qui connaissent une hausse importante de leurs effectifs.
Beaucoup d’écoles n’ont pas eu d’ouvertures alors qu’elles dépassent largement les repères d’ouverture. Pour le DASEN, si les niveaux sont trop chargés, « on lisse les dispositifs au-delà des limites… ». Cela revient à ne pas respecter les seuils des CP-CE1 à 24 et des CP-CE1 à 15 en éducation prioritaire. Le DASEN a aussi assumé de ne pas ouvrir certaines classes pour éviter d’en fermer ailleurs, contraint par les moyens budgétaires alloués au département. Cela est une des conséquences de la politique d’austérité menée par Macron et Blanquer ces cinq dernières années.
17 classes ont été ouvertes (dont 3 à Roissy pour accueillir les élèves ukrainiens). 2 classes ont été fermées. 2 classes de CP/CE1 à 12 ont été fermées (voir le tableau mesures de carte scolaire ci-dessous).
Le DASEN nous a confirmé qu’il y avait plus de contractuel-les que prévu et que par conséquent la DSDEN aurait un peu plus de moyens de remplacements.
La CGT avec le Snuipp et FO a voté contre ce projet. Le SE-UNSA s’est abstenu.
Un avis sur « [1er degré] CTSD du 2 septembre 2022 sur la carte scolaire »
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